Cet ouvrage réunit par l'image les prouesses du génie civil et la richesse des sites naturels.
SAINT-CYPRIEN
BERBIGUIÈRES - CASTELS
Le 8 novembre, de 17 h à 19 h, Conférence et présentation
d'Ouvrages d'art et de Paysages périgordins
au Grand Foyer, rue la Grange des Pères
Après Siorac, Belvès, Vézac et Niversac, les passionnés du patrimoine naturel et humain pourront suivre sur grand écran les "échappées photographiques" de Bruno Marty. Elles seront narrées au Grand Foyer.
Juliette, admirative, toute fière d'ouvrir ce livre dédicacé, fait découvrir le Périgord à son compagnon. Ils parcourent ainsi une synthèse des lieux d'exception autour de deux axes ferroviaires associant une rivière préhistorique et un fleuve chargé d'histoire.
Bruno Marty, reporter photographe indépendant, opère dans les deux hémisphères. Il a dû parcourir plus de 5 000 km dans le sillon de la Dordogne pour réaliser son livre en sélectionnant les meilleures de ses 200 vues suivant le fleuve - et quelques segments adjacents de ses affluents - pour conter en images, les sites de notre cours d'eau riche de châteaux, de manoirs, de ponts, de barrages, de falaises et de singles. Le chemin de fer, depuis l'avant-dernier siècle, est venu là pour concourir au désenclavement des vallées et apporter, en son temps, sa rapidité conquérante.
Tous ces détails d'architecture et, naturellement, l'histoire patrimoniale viendront là dans le grand foyer de Saint Cyprien. Après la projection sur grand écran des images, dont certaines sont ô combien surprenantes par leur originalité, Bruno échangera avec les personnes venues là pour retrouver des paysages et des lieux bucoliques mêlés au remous des barrages qui ont gagné leur place, là où les gabarres d'antan progressaient vers Bordeaux et l'Atlantique.
La plateforme des voies, les gares, les tunnels, les viaducs des plus simples aux plus audacieux, les signaux, plus que mi-séculaires en voie d'être remplacés, sont les témoignages d'un passé qui stimula un bassin de vie qui tenait à sa tranquillité mais recherchait une modernité pour s'épanouir dans son siècle.
Bruno se tiendra à la disposition de celles et de ceux qui souhaiteront acquérir son livre et le dédicacera.
La conférence dure environ une heure. Elle est suivie des questions-réponses.
Mais où sont les neiges d'antan ? Avec "La Ballade des dames du temps jadis", paroles de François Villon, sur une musique de Georges Brassens, Album le Vent (1953), l'auteur n'en était pas aux interrogations sur les aléas climatiques dus au réchauffement de la planète. Il se consacra exclusivement à une très belle poésie qui est venue jusqu'à nous au point d'accoster la plus belle chanson de Brassens "Les copains d'abord".
https://www.youtube.com/watch?v=Cg7YNNRKuhE
Bien loin de la poésie de Brassens (1921 / 1981) et, naturellement, bien plus encore de celle de François Villon (1431 / 1463), Juliette et Quentin jetèrent un regard sur l'image du viaduc de Fongauffier qui est à notre siècle, rarement enneigé.
Pierre Fabre
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