Terre de l'homme

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Mois de janvier 2023


Le doublé des Z'Igolos

 

CARVÈS

 

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Martin Bortolin, le fondateur des Z'Igolos, et Marine Pucheu, la coordinatrice et chef de chœur de la chorale  carvésoise, sont aux anges. La salle des fêtes bondée, le samedi en soirée, l'est, à nouveau, pour la matinée du 29 janvier.

 

Martin, en parfait maître de la situation, glissa quelques belles saillies. Il n'oublia personne dans ses remerciements, parents, public, naturellement les artistes et associa la commune de Carvès, sa commune de jeunesse et de cœur, à cette double réussite. Il a eu, aussi, un mot pour l'aide que Belvès a su apporter pour cette double réussite. 

 

 

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Pour les choristes, c'est une première sur scène à Carvès. Marine domine parfaitement son trac mais elle est émue de sa réussite. Parmi les choristes, une d'entre elles confia qu'elle a fait bien des efforts pour ne pas laisser paraître sa crainte en montant sur scène.

 

Sur le banc

La scène du banc. Des adolescents qui s'ennuient à mourir, aimeraient tant aller dans les sites dont ils rêvent... notamment la mer. Elle n'est pas tout à fait à leurs pieds.

 

 

L\\\'intervew

 

Non, cette ravissante journaliste ne s'entretient pas avec une habituée des plus hautes marches de podium...  Cette dernière donne une belle note d'humour et d'humilité, in fine, en révélant qu'elle n'est... qu'une remplaçante.

 

 

Roméo et Juliette

 

Tout le monde connaît l'histoire de Roméo et Juliette. À Carves, les artistes ont épilogué, à leur manière, sur ce drame des Amants de Vérone.

 

 

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Par deux fois, la salle fut comble. Faire venir 300 personnes dans une commune qui peine à dépasser la centaine d'habitants, n'est pas une réussite... c'est un exploit.

 

 

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Les applaudissements, naturellement, ont fusé.

 

 

Photos © Pierre Fabre

 

 

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Avec les réserves habituelles pour l'ordre chronologique :
 
Demain : Saga de Françoise Maraval.
Jeudi : Le téléphone va-t-il devenir une pièce de musée.
Vendredi : Les petits violons à l'EHPAD
Samedi : Découvrons ces petites mains qui tricotent à la filature fongauffiéraine.
 

31/01/2023
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En attendant la Chandeleur, Nicolas Escurat vous propose de scruter le ciel.

Nicolas Escurat

 

Nicolas Escurat

Photo © Pierre Fabre

Qui est Nicolas Escurat : Ce chantre de la Nature,  qui pourrait en apprendre à beaucoup d'écologues pour ses connaissances dans le domaine de la forêt, nous vient des Landes de Gascogne. Il connaît bien cet espace sylvestre où, de la Garonne à l'Adour, on vit dans un boisement artificiel voulu sous le Second Empire.

Nicolas a une passion qui l'amène loin de notre surface terrestre. Il surveille le ciel, avec un c minuscule, et guette, à chaque instant, ces phénomènes qui interpellent par leur puissance. Dans l'Antiquité, nos anciens y discernaient des présages qui, bien entendu, font sourire aujourd'hui.

 

Laissons-nous séduire par la fougue de ce Sioracois de cœur et d'adoption qui, inlassablement, observe notre voûte céleste. Il nous amène, au premier chef, à admettre, avec beaucoup d'humilité, que nous ne sommes, comme le dit aussi justement Hubert Reeves, que des poussières d'étoiles.

Pierre Fabre

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur Nicolas, passeur d'images de la voûte céleste et capteur de scènes de la nature, allez sur

http://www.nicolas-escurat-photographie.com/

 

 

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Comète N

 

Photo © Nicolas Escurat

 

 

Dans la nuit du 24 au 25 janvier, il y a enfin eu une longue nuit claire qui m'a permis de bien prendre en photo, la comète au nom barbare C/2022 E3 ZTF
(comme "Zwicky Transient Facility" qui est le nom d'un système de surveillance du ciel à l'observatoire Palomar en Californie)
Cette comète à longue période a été découverte le 2 mars 2022. Elle sera au plus proche de nous, le 1er février 2023, soit à une distance de 42 millions de km !!
Ce soir-là, elle était à peine visible à l’œil nu sous une sorte de minuscule petit point un peu flou... Si vous n'avez pas un ciel parfaitement noir, n'essayez même pas de la chercher... Elle est loin d'être aussi lumineuse que la comète Neowise qui a traversé notre ciel en été 2020.
Mais, avec un téléobjectif ou un télescope, il est possible de révéler sa belle teinte verdâtre ainsi que ses 3 queues 🧐 Rocco, tu peux aller te rhabiller 🤣
En effet, une comète peut posséder jusqu'à 3 queues quand elle s'approche d'une étoile comme notre soleil. Ce sont les radiations solaires qui provoquent cela sur ces voyageuses de l'espace :
- une queue de gaz ionisé plutôt de couleur bleue qui est toujours orientée de manière opposée à ces astres. On peut donc facilement savoir où est le soleil en suivant la direction inverse 🙂
- une queue de poussière souvent blanche, courbée et plus ou moins importante en fonction du flux de particules qui est éjecté de la comète
- et parfois, une 3ème queue mystérieuse fait son apparition comme c'est la cas sur cette photo. Selon les scientifiques, cette "anti-queue" ne serait visible que lorsque la Terre traverse le plan orbital de la comète... En effet, les plus grosses particules de poussières ont tendance à rester autour de la comète en formant une sorte de disque. Lorsque la Terre traverse le plan orbital de la comète, nous voyons ce disque de côté. On voit donc apparaître cette pointe caractéristique. Le mystère de la 3ème queue est donc élucidé
...et sinon, dans l'espace intersidéral, les comètes ont l'apparence de gros rochers complètement gelés 🥶
Prochainement, je vous ferai voir la vidéo du déplacement de la comète. Cette nuit claire m'a permis de suivre la comète, pendant plus de 7 heures environ.
Autre anecdote intéressante, dans la nuit du 22 janvier où j'ai tenté pour la 1ère fois de la photographier, j'ai pu assister avec chance à un phénomène particulier.
Une forte éruption solaire à causé une déconnexion temporaire de la queue ionisée. Elle a donc été déformée puis coupée en 2, suite à cette projection importante de vent solaire. C'est visible sur une succession d'images mais de manière moins nette qu'ici car le ciel était voilé. Avant d'avoir l'explication, je me suis demandé, sur le moment, pourquoi je ne voyais plus la queue ionisée sur mes images... Il y a souvent une explication rationnelle.
Sur notre terre, ces éruptions solaires provoquent notamment des aurores boréales.
 
Nicolas Escurat
 
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Avec les réserves habituelles pour l'ordre chronologique :
 
Demain : Carvès, extraordinaire pivot choral et théâtral du limbe "nauzérois"
Après-demain : Saga de Françoise Maraval.
Jeudi : Le téléphone va-t-il devenir une pièce de musée.
Vendredi : Les petits violons à l'EHPAD
Samedi : Découvrons ces petites mains qui tricotent à la filature fongauffiéraine.
 

30/01/2023
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Se jeter dans la gueule du loup

 

Russie gare de Koursk

 

 

                                       Arrivée du général de Gaulle à la gare de Koursk Moscou

 

Maintenant, l’hiver avec sa froidure et ses vents glacials déferle sur les plaines immenses de l’Ukraine couvertes d’une couche de neige verglacée, immobilisant la nature et compliquant la vie des gens pris dans une guerre épouvantable et meurtrière.

A quand la cessation des combats alors que cette terre généreuse et fertile est ravagée par la mitraille ; villages, immeubles, arbres portent des blessures qui défigurent le paysage, des tranchées ont été creusées et on nous parle d’un Verdun du XXIe siècle, l’histoire serait-elle en train de recommencer ?

Comment entamer des négociations, renouer un dialogue brisé avec un tyran froid, obstiné, manipulateur, décidé à ce que l’Ukraine revienne dans le giron de l’Empire russe dont elle n’aurait jamais dû se séparer selon lui, pourfendant la révolution Orange à l’origine de la démocratie à l’occidentale et de la liberté instaurée dans ses institutions, tout cela, bien sûr, défiant le régime dictatorial poutinien.

Les discussions sur le sujet sont vouées à l’échec et les timides tentatives se sont brisées sur une détermination sans faille au risque d’y laisser un peu de sa superbe.

Rien à voir avec le voyage risqué et plein d’embûches, long voyage à travers une Europe détruite et meurtrie, destiné à replacer la France dans le concert des nations victorieuses, un voyage à la rencontre d’un dictateur impitoyable, souillé du sang de son propre peuple dont on pouvait se demander si ce n’était pas se jeter dans la gueule du loup.

Américains, Russes, Britanniques se partageaient l’Europe ; de Gaulle, chef du gouvernement provisoire de la République française, reconnu le 23 octobre 1944 par les Alliés, se sentait en position de faiblesse, n’ayant pas toujours l’écoute d’un Roosevelt ou d’un Churchill, se sentant, parfois, écarté. C’est alors qu’il juge le moment opportun de se rendre à Moscou.

De Gaulle avait le sentiment qu’on allait régler le sort de la France dans son dos et, donc, il éprouva le besoin de discuter avec ce redoutable tsar à la tête de l’Empire soviétique, héritier de Lénine et de la révolution bolchevique, dirigeant son pays d’une main de fer et trempée de sang.

L’ambassadeur russe Bogomolov, représentant officiel du gouvernement soviétique auprès du CFLN, transmet sa demande qui obtient le feu vert du maître du Kremlin.

Le 24 novembre 1944, la délégation française prend l’avion pour Téhéran via Le Caire ; car, il fallait éviter de survoler l’Allemagne où des combats se déroulaient à l’Est ; puis, des bords de la mer Caspienne, gagner depuis Bakou, Moscou par le train de luxe mis à sa disposition.

Au total, le voyage durera trois semaines, le voyage en train trois ou quatre jours, traversant le vaste champ de bataille de Stalingrad et la délégation arrive à Moscou, le matin du 2 décembre 1944, par un froid glacial.

Viatcheslav Molotov, ministre des Affaires Etrangères, bien connu des chancelleries car c’est un pur produit de l’ère soviétique, l’attend, entouré de commissaires du peuple et de généraux. Une foule commanditée par le régime applaudit, les hymnes retentissent ; puis, le général prend la direction de l’ambassade de France car il ne veut pas loger dans un de ces palais truffé de micros, à savoir la Maison des Hôtes de l’URSS. Il en résultera que le premier accueil du chef du Kremlin sera plutôt froid.

 

Fréquemment, il ira sur les hauteurs de la ville au Mont des Moineaux découvrir Moscou, endroit d’où Napoléon assista à l’incendie de la ville en bois déclenché par les résistants russes et qui présageait la retraite désastreuse de la Grande Armée à l’automne 1812.

 

Au Kremlin, il découvre les fastes des palais russes, passe sous le tableau sanglant représentant Ivan le Terrible assassiné par son fils, est accueilli par Staline parmi des dignitaires russes de la Nomenklatura, accompagné par Georges Bidault et  ses proches conseillers. Il sait que Staline est comme Néron, assoiffé de pouvoir, imprévisible, cruel, gouailleur, provocateur, ironique et ténébreux, avec des yeux malicieux, vifs, méfiants et qu’il est auréolé de sa victoire sur les nazis, vainqueur incontesté de la Wehrmacht.

 

Première rencontre officielle dans une vaste pièce autour d’une grande table, les yeux baissés, il gribouille des papiers, impassible, écoutant son interlocuteur français, refusant de s’engager sur le devenir de l’Allemagne et laisse entendre qu’il ne faut pas compter sur lui pour son grand dessein allemand s’agissant de la Ruhr et de la Sarre, rien ne serait décidé sans consultations avec Roosevelt et Churchill. Les espoirs de de Gaulle s’envolent, auquel il signifie que les frontières de la Pologne devront s’étendre jusqu’à l’Oder et la Neisse à l’Ouest et le maître des lieux propose, simplement, un accord pour prévenir toute nouvelle agression allemande. Pas grand-chose pour un si long et périlleux déplacement. Quelques réflexions fusent : « Ce doit être bien difficile de gouverner un pays comme la France où tout le monde est si remuant » ou encore « si j’étais à votre place, je ne mettrais pas Thorez en prison. La France soutient-elle l’indépendance polonaise ? Pourquoi prenez-vous la même position stérile que l’Amérique ou la Grande-Bretagne ? Nous attendons de vous que vous agissiez avec réalisme et dans le même sens que nous. » Il plaide pour le « Comité de Lublin » constitué de communistes polonais à sa botte car il veut que ce soit le futur gouvernement du pays mais il n’obtient pas l’aval du général.

 

Deuxième séance au soir du 6/12 : les Soviétiques déclarent avoir tenu les Britanniques informés et suggèrent plutôt que de signer un traité avec la France d’envisager un pacte tripartite.

De Gaulle sent le piège, le beau rôle reviendrait à la Grande-Bretagne et à la Russie. Furieux, il refuse d’assister à la visite touristique prévue par ses hôtes mais, le soir, se rend à l’entretien prévu avec Staline qui ne lui reparle pas de l’affaire.

Des négociations se déroulent entre les deux délégations : une dernière invitation est adressée à la délégation française pour un dernier banquet, au soir du 9 décembre, dans la salle Catherine du Kremlin. La soirée se prolonge ; le général, morose, car il n’y a toujours pas d’accord, est assis aux côtés de Staline qui observe de Gaulle, « se donne l’air d’un rustique, d’une culture rudimentaire, appliquant aux plus vastes problèmes les jugements d’un fruste bon sens. »

 

russie staline

 

 

                                                Staline fumant sa pipe Dunhill

 

Il arrose bien sa soirée, buvant des verres de vin de Crimée, parle avec l’Américain Averell Harriman ; la soirée suit son cours quand, subitement, Staline offre des toasts à ses généraux et à ses ministres. Trente fois, le dictateur se leva pour saluer d’abord ses hôtes français, américains et britanniques puis ses ministres, ses généraux, ses ingénieurs. « Chaque fois, le petit Staline s’avance vers eux en se dandinant. Arrivé au maréchal d’aviation Novikov, il fait l’éloge de ses talents puis, soudain, s’exclame : « Et, s’il ne travaille pas bien, nous le ferons pendre ! »

Aux diplomates présents, il s’exclame que s’ils ne trouvent pas un accord, rapidement, ils seront tous fusillés. Alors, au moment où l’on sert café et cognac, dans une autre pièce, pointant du doigt Boulganine, il crie : « Allez chercher les mitrailleuses ; liquidons les diplomates. »

Guerre psychologique, bien sûr, mais de Gaulle n’est pas dupe et s’écrie assez fort, lui aussi, pour qu’on l’entende, s’adressant au diplomate américain, Averell Harriman, en lui désignant Boulganine du doigt : « Est-ce l’homme qui a arrêté autant de généraux russes ? »

La soirée continue, un film est projeté de propagande anti-allemande puis un dessin animé avec Donald Duck chez Hitler.

De Gaulle se lève, excédé de la recherche vaine d’un accord, prend congé rapidement et annonce qu’il repart, le lendemain matin, pour la France, laissant deux négociateurs pour poursuivre les pourparlers.

Un coup de poker réussit : à deux heures du matin, un projet d’accord est trouvé : il l’accepte.

 

russie pacte

                                        Signature du Pacte franco-soviétique au Kremlin

 

Le texte est signé à 4h du matin, dans le bureau de Molotov, en présence de Staline qui murmure à son ministre que les Français ont été plus malins que lui.

Après un dernier déjeuner et des toasts supplémentaires, la délégation française quitte Moscou, en fin de matinée.

De Gaulle rentre à Paris avec en poche le fameux pacte franco-soviétique qui reconnaît la France comme puissance alliée ayant participé à la victoire sur le Reich. Un pas important et inespéré tenant compte de la place et du retour de la France dans le concert des Nations.

 

De Gaulle décrira un homme « au charme ténébreux, humainement tout seul, un dictateur tapi dans sa ruse qui aimait la Russie à sa manière. Tout, chez lui, était manœuvre, méfiance et obstination. »

 

Dans le train de retour qui l’emporte, il déclare à un des collaborateurs :

« Ce n’est pas la domination d’un parti, pas celle d’une classe, mais celle d’un seul homme. »

 

 

 

accord de Yalta

 

 

                                     La réunion de Yalta entre Roosevelt, Churchill, Staline

 

Contribution de Jacques Lannaud

 


29/01/2023
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Préparation de la journée du Canadier

MONPLAISANT

&

VEYRINES-de-DOMME 

 

 

Préparation Canadier

 

Lors de la première rencontre 2023 de l'ANACR, on a surtout parlé de la commémoration du Canadier.

Photo © Anne-Marie De Walls

 

La journée du devoir de mémoire pour les victimes de la honteuse et haineuse félonie pétainiste du Canadier, cette année, aura lieu le 18 mars.

Le matin, à 11 h, le dépôt de gerbe au mémorial de la Raze sera suivi de l'appel des malheureux par Manon, la lectrice de l'ANACR du Val de Nauze. Le premier recueillement sera suivi du "Chant des partisans". Après le moment du mémorial à La Raze, les personnes qui le voudront -et le pourront- iront, en cortège pédestre au piédroit de la tombe des républicains espagnols inhumés là, marquer une escale dans le cimetière veyrinois.  

Du mémorial au cimetière, il y a 650 mètres.

Ensuite, les personnes qui le souhaiteront, seront reçues par Pascal Delpech, maire de Veyrines, et les élus veyrinois à la salle des fêtes pour le traditionnel vin d'honneur.

 

Le repas de l'ANACR suivra. Pour l'intendance, il sera demandé à chaque convive une participation de 20 €.

 

L'après-midi, à 16 h, Daniel Chavaroche va raconter l'histoire de " Ceux de Canteloube ". "Ceux de Canteloube" pourraient être ceux de La Treille, de La Brame, de La Menuse, de Vaurez ou de Traly, tant nous reconnaîtrons nos aînés et nos concitoyens. En fait, cette histoire, elle passionnera l'auditoire par sa délicatesse et son esprit, sera surtout la sympathique aventure de Zéphirin, un brave résistant, qui, dans la chronologie, saura rassembler un demi-siècle de captivants moments où se mêlent l'intrigue, la passion, la faiblesse, la nostalgie, la bonhomie et, aussi, l'humour.

 

P.F

 

L'ANACR précise que les porte-drapeaux seront les bienvenus.


28/01/2023
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Voyage en terre théâtrale

 

CARVÈS

 

Le blog "Terre  de l'homme", a-t-il besoin de présenter le collectif scénique des Z'Igolos qui, du haut de l'émergence scrutant les reliefs des sillons du Valech et du Neufond, depuis plus de 20 ans, se renouvelle avec pour fil rouge l'enfance et la jeunesse. En revenant sur les personnages clés qui animent ces adeptes des planches, nous risquons de commettre la faute de présenter ceux que l'on ne présente plus, tant  leur talent est admis et reconnu.

 

 

Z\\\'Igolos

 

Martin Bortolin fut le pilier-fondateur quand il venait tout juste d'atteindre la majorité. Marine Pucheu, qui sut apporter une touche gasconne aux tréteaux carvésois, a bien pris racine sur cet éperon calcaire où la vie culturelle alterne de la P'tite salle au Fon du loup. Pour les 28 et 29 janvier, ils recevront à la Salle polyvalente.

Non, bien sûr, Carvès n'a pas déboulonné les festivals d'Avignon, de Cannes ou de Sarlat mais, dans ces collines où de jeunes talents se découvrent et s'affirment, on se plaît à venir écouter... et applaudir les Z'Igolos.

 

 

Z\\\'Igolos trio

 

Photos © Pierre Fabre

 

Voyage en terre théâtrale

 

Pavé composé par les Z'Igolos 

 

 

 

 

 


27/01/2023
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