L'A.G. de Périgord Rail +
Le BUISSON
Trente années d'attachement à l'outil ferroviaire.
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J-François Martinet, président de Périgord Rail +, pendant 1 heure, a présenté son bilan et a défini ses objectifs.
On notera qu'après Périgueux Le Buisson fut la localité la plus marquée par l'arrivée du chemin de fer inauguré le 3 août 1863.
Au premier rang, Jacques Auzou et Marie-Lyse Marsat.
Photo © Pierre Fabre
Au premier rang, au centre, Christian Léothier, derrière lui, au deuxième rang à gauche, Jean-Gérard Rebeyrol. Localement, il est un peu l'âme de ce patrimoine ferroviaire périgordin.
Photo © Pierre Fabre
Dans la tradition, il est d'usage de rendre hommage aux disparus. Le président Martinet rappela que Pierre Barredy fut un sociétaire fortement impliqué dans une carrière ferroviaire. Homme de rigueur, d'un professionnalisme reconnu et évident, il fut le chef d'établissement du Dépôt de Saint Pierre-des-Corps.
Photo © Pierre Fabre
Dans l'espace du public, on pouvait remarquer plusieurs élus attachés à la cause ferroviaire et la présence de Mérico Chies, ancien maire du Buisson, assis avec les membres du bureau.
Ci-dessus, le bureau de l'association et une vue sur les amis et membres de l'association.
Il y avait 45 personnes dans la salle pour suivre le compte-rendu de l'année passée et les pistes que l'association entend ouvrir ou poursuivre.
Les rapports amicaux, unissant Marie-Lyse Marsat et Jacques Auzou, dépassent largement une complicité de personnalités progressistes de l'assemblée départementale.
Après sa longue intervention, le président Martinet donna la parole aux personnes présentes. Jacques Auzou, président du Grand Périgueux, donna le la des soutiens. Sa prise de parole fut cohérente. Très rétrospective, il s'invita sur les axes ferroviaires dordognais en soulignant le rôle majeur de ceux-ci dans le département. Il jeta un regard plein d'attention sur le rôle des transversales.
Jacques osa un point d'humour avec les impasses et un infime " fleuret moucheté " sur les mouvements sociaux.
Il termina en disant que s'il était ringard, il y a 30 ans, de soutenir le rail, aujourd'hui, c'est d'une impérieuse nécessité.
NDLR. Sans nullement avoir l'insolence de vouloir nuancer le propos final du président de Grand Périgueux, la pertinence de l'outil ferroviaire, déjà, il y a 30 ans, en pleine ère de la grande vitesse, avait déjà interpellé les observateurs de la vie citoyenne et écologique.
Cette A.G., à 3 jours près, correspondit à l'équinoxe de printemps. Périgord Rail + vous donne rendez-vous, la veille de l'autre équinoxe, celle d'automne, le 19 octobre, pour participer au même lieu, à sa conférence-débat " Le train et le Périgord ". Cette animation commencera à 9 h . Elle sera suivie d'un repas. |
Texte Pierre Fabre
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