Le marché de Noël sur les berges de la Dordogne
SIORAC-en-PÉRIGORD
Le 23ème marché de Noël de ce dimanche 3 décembre.
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Incontournable, le Père Noël, bien avant sa grande pérégrination, fit escale au marché de Noël sioracois. Des observateurs, à tort ou à raison, ont cru le croiser dans la grimpette de Pech-Bracou où il parqua son âne.
Le marché, comme d'habitude, attira de nombreux exposants. Parmi ceux-ci, on pouvait remarquer la place réservée aux livres.
Didier Roques, le maître de céans, ravi de la réussite de la 23ème édition du marché de Noël, tint à remercier les exposants, de plus en plus nombreux. Il ne resta plus le moindre mètre carré à pouvoir attribuer.
Les chalands et exposants venus à Siorac pour cette manifestation arrivaient, certes, de la Vallée de la Dordogne mais aussi du Pays Basque, de l'Angoumois, du Quercy, etc. |
Le premier magistrat sioracois, comme il se doit, félicita l'Animation sioracoise, maître d'œuvre et maître d'ouvrage de cette manifestation. Il remercia les exposants et invita les participants au convivial pot de l'amitié.
Beaucoup d'harmonie dans la galerie.
Un discret mais magnifique arbre de Noël trôna sur l'estrade.
Des petites mains toujours sur le pont
Merveilleuses gardiennes de la vie, les abeilles, grâce au rucher solidaire, ont eu leur place dans ce marché. N'oublions pas : "Ces petits animaux se trouvent un abri, qui dans un trou de terre, qui dans une cavité d'arbre ou sous un tas de feuilles mortes, et ralentissent drastiquement leur métabolisme dans l'espoir d'avoir suffisamment de réserves pour survivre à un hiver de six mois" ; sans abeilles, notre planète serait une sphère désertique.
Laurent Chevrier, président d'Animation sioracoise, lui aussi, a pu être ravi du succès de ce marché de Noël.
Une réussite due aux forces vives sioracoises.
Et pour terminer, paraphrasons la chanson de 1961, de Pierre Perrin, Tout ça ne vaut pas... une promenade en calèche.
Contribution plurielle, photos © Terre de Nauze.
Les lecteurs, naturellement, sont invités, s'ils le souhaitent et seulement s'ils le souhaitent, à cliquer, en bas et à droite de ce regard sioracois, sur la main levée. Aujourd'hui, cette main levée voudra dire "j'aime" mais, plus particulièrement, dans ce cas précis, elle voudra affirmer "J'aime Siorac". |
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