Terre de l'homme

Terre de l'homme

Halte au feu

 

Halte au feu - Actualite politique et familliale

 

Attendre quelqu'un au coin du bois, le guetter et tomber sur lui à l'improviste.

 

Sur "Terre de l'homme", attendre quelqu'un au coin du bois n'a, bien entendu, rien du traquenard de personnages prêts à tomber sur le poil d'un passant pour le dépouiller. On est là dans la métaphore et celui qui est pris au coin du bois, sera interpellé pour un mot utilisé qui n'est pas employé dans la plus parfaite escience ou pour un propos qui se prête à une interprétation, etc.

 

La fenêtre commentaire est là pour permettre au lecteur de corriger, d'amener une précision, voire de tailler en brèche un billet. Elle permet aussi, par le truchement de l'anonymat, ou de la couverture d'un pseudo non identifiable, de bousculer un billettiste vulnérable, faillible et imparfait qui a du mal à contenir son ressenti, à rester en retrait du sujet qu'il, ou elle, voudrait amener sur le blog.

La rubrique commentaire est là, bien à sa place. Un commentateur qui, sur le fond et la forme, n'a pas du tout le même ressenti ou le même point de vue qu'un rédacteur et, naturellement, c'est tout à fait son droit, peut ainsi enrichir le thème abordé. Ce n'est point là un concours d'éloquence mais un garde-fou qui, là, situe les clous.

 

Quand  les commentaires, sous l'aube protectrice de l'anonymat, se livrent à l'envi à introduire des proses déstabilisatrices, il n'y a pas de quoi s'émouvoir outre mesure. La Terre continuera de tourner. Ce qui est dommageable, c'est que ce rigide parapet continuel qui, certes, est là pour éviter des dérapages, casse la quiétude du lectorat. Il prend rang de mini-tribune de polémistes.

 

Pour favoriser l'accès des commentaires aux lecteurs, abonnés ou non, la rubrique a été "modérée", c'est-à-dire soumise à une certaine "censure". Cette modération, peu libertaire, a été levée par commodité et souplesse. Dès que ce "filtre" a été suspendu, les pamphlets sont revenus avec toute leur acrimonie... pas toujours de bon aloi. Nous retombions dans l'entremêlement de la polémique et de sa stérilité.

Dès  maintenant, les commentaires, ils seront toujours les bienvenus, sont à nouveau soumis pour validation, à la coordination pour tenter de rétablir une forme d'apaisement.

 

Notons que les auteurs de commentaires clairement identifiés ont toutes les probabilités d'être publiés en l'état.

 

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Les billets en préparation.

 

Volet n° 47 de la saga "De belles gens" de Françoise Maraval.

Un passionnant débat sur le "sacré".

C'était "l'Hôtel du commerce", retour sur un pâté de maisons.

C.R. du Téléthon à Sagelat.

Michelet a-t-il eu tort d'écrire "Les palombes ne passeront  plus".

"Le Théâtre de la Nauze" attendu dans le creuset de la Ménaurie.

Le Conseil d'État est-il un cercle qui empêche de tourner en rond.

La périphrase est-elle une pédante figure de style, une saillie d'humour ou une échappatoire.

L'ordre séquentiel risque fort d'être remanié.

 

 



21/11/2022
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