Journées du patrimoine, volet n° 4. J'aime Siorac, son fleuve, sa rivière, ses ruisseaux, ses rus, ses sources, ses fontaines, ses chemins, ses monuments, ses élu(e)s et ses sioracois(e)s.
Autorisons-nous un tout petit segment d'ouverture emprunté à Théodore Botrel qui, en 1895, au cabaret "Le Chien noir" à Paris, avec "La Paimpolaise", fédéra, par le chant, la Bretagne qu'Anne, par son mariage, avait rattachée à la France. Oui, j'aime Siorac pour tout ce qui fait que cette entité soigne ses racines avec les vivifiants rameaux de son essor contemporain.
de la mise en valeur de Foncaude
Qui est Sioracois ? On peut dire qu'être Sioracois, pour certains, c'est un privilège acquis par la naissance. Ils sont de moins en moins nombreux. Ceux-ci sont largement appuyés par les Sioracois de cœur. Ils sont nombreux dans la vie citoyenne culturelle et associative.
Rémy Bruneteau, Sioracois d'adoption et de coeur, est au moins aussi Sioracois que son ami Didier Roques, le maire de ce village de confluence d'eaux collinaires vers ce majestueux fleuve de la Dordogne. Là, il réunit les hommes de ce terroir. Que dire de Rémy ? C'est, avant tout, un sportif. Il fut un pilier du Club athlétique de Belvès qui fit parler de lui grâce aux 100 km qui faisaient écho à l'épreuve athlétique de Millau. Ainsi deux pans de notre vieux socle hercynien ont donné aux athlètes une dimension presque surhumaine. Rémy, c'est aussi un ami du terroir, de ses sources, de ses chemins et de tout ce petit patrimoine, atouts qu'il a su valoriser.
Ainsi, lundi 23 septembre, il sera dans son champ d'huissier patrimonial. |
Images © Pierre Fabre
Foncaude. Image © Sandrine Bruneteau-Lorenzo
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