Terre de l'homme

PAYS de BELVÈS

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La terminologie de "nouveautés", au premier regard,  dans une cité médiévale qui présente un  musée, de surcroît impulsé par un senior, qui est sur la brèche depuis des décennies, fait légèrement insolite, pourtant ce musée constitue bien une nouveauté locale. Il fallait avoir la fibre patrimoniale bien affirmée pour se lancer dans ces thèmes qui ne suscitent des passions que pour des félibrées ou des animations médiévales.

Le baron de C.M, tiens j'ai perdu  le sens de C.M, il m'a cependant été précisé que ce n'est pas château de Martillac,  s'entretient avec Thierry et Geneviève, noms d'artistes Théel et Iris. Ces derniers n'avaient que la rue à traverser.

Photo © Pierre Fabre

La rue c'est, aussi, un musée...

Tiens j'aperçois mon ami Georges, le romancier de la Manaurie. Huguette, son épouse, brillante plume ponctuelle de "Terre de l'homme" cache son visage derrière celui, de profil, de mon ancienne condisciple Marie-Jeanne que la pluie intempestive m'a empêché de saluer samedi... dommage !

Photo © Pierre Fabre

Patricia, Jocelyn et Andrée savaient, probablement, ce qu'organistrum veut dire... moi pas !

Photo © Pierre Fabre

L'organistrum est un instrument de musique à cordes ancêtre de la vielle à roue. Il apparaît vraisemblablement dans la seconde moitié du XII^e siècle. L'archet est remplacé par une roue qui frotte deux de ses cordes pour obtenir des sons. Deux personnes étaient nécessaires pour jouer de l'organistrum. Une qui actionnait une manivelle faisant tourner la roue et une montant des tirettes modifiant la longueur vibrante des cordes donc des notes. L'instrument était posé verticalement, à plat, sur les genoux. Source Wikipédia

Au premier plan, on reconnaît Pierre Marty et, légèrement effacée derrière lui, Claudine son épouse. Ils ont pu apprécier l'impact de cette manifestation. 

Photo © Pierre Fabre

Daniel a apporté des fleurs à Lucille. Elle a largement assisté René dans son projet. Certes, les fleurs  sont périssables mais elles font plaisir à celle qui les reçoit.

Photo © Pierre Fabre

L'ouverture de ce musée, d'ici la mi-juin, sera un passage obligé dans cette rue de Belvès, rue qui, par ailleurs, pérennise un nom de la Résistance. Cet odonyme a dû plaire à Georges Rebière, dont la plume a titré son ouvrage autobiographique "Aimez-vous cueillir les noisettes"... inspiration poétique devenue une métaphore résistante.

Les heures d'ouverture du musée.

Ce sera le matin de 10 h à midi, l'après-midi de 15 h à 18 h.

Prévoir une bonne heure de visite.

René Barde a maillé les permanences des hôtes, bénévoles faut-il le préciser, de ce musée mais se dit prêt à en accueillir d'autres. Quod abundat non vitiat, c'est-à-dire : "ce qui abonde ne vicie pas".

J'irai le jour de l'ouverture me mêler aux premiers visiteurs pour compléter ce billet voulu, aujourd'hui, largement incomplet

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Demain.

St Pardoux & Vielvic. Retour sur un week-end de portes ouvertes à l'aérodrome belvésois. 

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