Sèm anat a sent-cíbran pel salon del libre.
Sèm anat a sent-cíbran pel salon del libre.
Nous sommes allés à Saint Cyprien pour le salon du livre de culture occitane.
Photo © Bruno Marty
Vue d'ensemble de ce salon
Ce 24 novembre, veille de Sainte Catherine, fête qui, selon les observations de paysans, de jardiniers et d'horticulteurs, est favorable à l'enracinement, fut superbe. Était-elle parfaite pour l'enracinement de la culture occitane ? Assurément oui, pour les adeptes de nos traditions qui sont venus à Sent-Cíbran pour soutenir cet attachement philosophique.
Ce salon est traditionnellement organisé par l'ASCO.
L'activité de l'ASCO est orientée autour d'ateliers ouverts à tous :
https://www.memoireetpatrimoine.fr/46+a-s-c-o-atelier-sarladais-de-culture-occitane.html |
Photo © Bruno Marty
Deux compères et amis. À gauche, Georges Labrousse, venu des hauteurs savignacoises de la Manaurie, et à droite, Jean-Matthieu Clot, descendu de son promontoire saint-foyen du Val de Beuze
Photo © Bruno Marty
Anne Charieras, Pétrocorienne, jeune médecin généraliste, parle avec Sylvie Chasseriau. Anne, la benjamine, ô combien séduisante, de cette manifestation, regrette de ne connaître que quelques mots de cette belle langue qui fut celle de Bertran de Born.
Photo © Bruno Marty
Daniel Chavaroche connaît Maryse depuis pas mal d'années. Se parlaient-ils en occitan ? Je n'y ai pris garde.
Photo © Bruno Marty
Estelle Audivert tend l'oreille pour écouter Monique, sa maman, pilier fondateur de "Perce oreille", expliquer un point de son ouvrage.
Photo © Bruno Marty
Jean-Claude Martegoute, plume qui s'immisce dans le domaine mystique et précis sur les truffes et les truffières du Périgord et du Quercy, rencontre Sylvie Chasseriau.
Photo © Bruno Marty
Michel Labussière a été journaliste à La Dordogne Libre (groupe Sud-Ouest) et correspondant du journal Le Monde. Membre de la Société Historique et Archéologique du Périgord, aujourd’hui retraité, il apporte ponctuellement sa contribution à diverses publications. Au fil de ses reportages, il a vu disparaître, tenir ou changer ces lieux de vie incontournables que sont les cafés de la ville, comme un thermomètre du changement du quotidien des Périgourdins.
Il aurait pu écrire "Si Périgueux m'était conté"... il est encore temps !
Photo © Bruno Marty
Un observateur en balade témoin de la "vieille" complicité qui réunit Maryse Valette et Jean Bonnefon
Photo © Pierre Fabre
Bruno Marty est un habitué des salons. Il aime tout particulièrement celui de Saint Cyprien où l'on se retrouve pour échanger quelques mots occitans et parler de ces anciens qui, aujourd'hui, auraient tant de choses à nous dire.
Photo © Maryse Valette
Jean Bonnefon a beaucoup apprécié le travail artistique de Bruno et il le lui a redit.
Photo © Bruno Marty
Sylvie Chasseriau fut la sympathique maîtresse de maison de ce temps pédagogique. Elle diligenta naturellement ce salon. Elle n'hésita pas à affirmer qu'elle aime les campagnes du Périgord. Elle profita du salon pour acquérir "Les campagnes du Périgord", ouvrage élaboré par Christian Marty, l'oncle de Bruno Marty.
Photo © Bruno Marty
Non, ce n'est pas un triumvirat puisque Maryse donne une note féminine à ce micro-cercle, juste avant que Daniel parte guider la chorale de l'ASCO.
Photo © Bruno Marty
On dit qu'une bonne rencontre se termine en chanson. La chorale de l'ASCO dirigée par Daniel Chavaroche concrétisa la symbiose de cette rencontre.
Photo © Bruno Marty
Oui, ce fut un bon, voire un excellent moment juste avant le pot de l'amitié.
Tornarem l'annada que ven.
Nous reviendrons l'année prochaine.
Pierre Fabre
A découvrir aussi
- Le patronyme de Lucien Fabre, ce 11 novembre, sera pérennisé par le néotoponyme d'un bien modeste chemin.
- Théâtre de la Nauze. Douze jurés en colère.
- L'occitan pour les trules, par Jean-François Gareyte
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 221 autres membres