Terre de l'homme

Ce mois de juillet, certainement, se révèle torride pour les humains mais aussi pour les malheureux animaux qui, au mieux, souffrent et, au pire, meurent un peu partout, victimes de cette chaleur excessive et pour beaucoup du manque d'eau.

Le paradis insulaire dont la capitale, Reykjavík, est éloignée de 2 710 km de Tarbes est l'objet de ce billet rafraîchissant. Il faisait rêver Jocelyne et Gilles qui, une fois n'est pas coutume, se sont détournés des pays du type Burkina, Népal, Inde, Birmanie, etc..., bien à l'écart du Club Med. Cette année, ils sont allés dans cette île fascinante où les geysers  impressionnent les visiteurs.

Hier, ce blog emprunta le concept antique des Quatre éléments, terre, air, eau, groupe de mots appuyant un  soulignement par Empédocle et Aristote, pour le feu. Ce carré conserve toute sa place de nos jours. S'il est un espace géographique où cet assemblage trouve sa route, c'est bien en Islande.

P-B F

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Jocelyne et Gilles ont envoyé de leur échappée nordique,  une kyrielle d'images. Il eut été préférable de donner pour la fin, celle qui peut symboliser cette empreinte humaine et géologique mais, tant pis, elle sera la première.

Ces bâtiments islandais mettent en harmonie la nature avec leur couverture végétale.

À titre anecdotique, d'aucuns ont, peut-être, reconnu le commandant Kaubach qui, dans Le Repas des fauves, pièce de théâtre de Vahé Katcha écrite en 1960 et mise en scène par Julien Sibre, était l'officier nazi.