Terre de l'homme a ouvert sa deuxième centaine d'inscriptions.
Le binôme fondateur de "Terre de l'homme"
Pierre Merlhiot, le créateur et éditorialiste du blog |
Catherine Merlhiot, la coordinatrice |
Les appuis techniques
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Bruno Marty, reporter-photographe indépdt
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Édik Odéon, galériste cypriote |
Sylvie Borie, correctrice |
Les premiers contributeurs,
par ordre alphabétique
Le cercle de Terre de l'homme ne manque pas de s'enorgueillir de compter un poète, troubadour moderne.
Gérard Hicès ne rate pas l'occasion de taquiner la muse sur ce lien. |
Il n'y a pas tout à fait 2 mois, le 14 novembre dernier, Alain Lamour, de sa façade océane, nous rejoignait. Il devenait le 50ème membre de Terre de l'homme. Alain manifestait ainsi son attachement à ce terroir auquel il est indéfectiblement attaché.
Le Cers, vent de l'Atlantique, a bien soufflé depuis et la liste s'est bien allongée. |
Le passage de la première à la seconde centaine de figures du lectorat
Qui sont René et Marie-France.
Marie-France et René sont des personnes bien connues au Pays de Belvès, commune où ils habitent.
Marie-Françoise, avec Yves, son époux, qui nous a quittés en décembre 2019, a pris pied sur le castrum depuis plus de 20 ans. Passionnée par la vie culturelle locale, elle est devenue le pilier fondateur de l'association patrimoniale qui entend valoriser l'héritage pluriséculaire de N.D de Capelou. Marie-Françoise tient à souligner que son collectif est d'essence parfaitement laïque et est ouvert à tous.
On a du mal à présenter René, tant à Belvès que dans les communes périphériques. Il fait partie "des meubles". René fut, en 1983, maire de Larzac, commune de son enfance, puis conseiller général du canton de Belvès. Au castrum, en 1989, il a ceint l'écharpe tricolore au gland d'or. Lui aussi a démontré sa ou, plutôt, ses passions pour la vie locale. Son plus gros chantier fut la mise en valeur de ce pan patrimonial des troglodytes belvésois. Ce chantier, toujours d'actualité, aujourd'hui, fait partie d'un plan d'ensemble qui promeut ce bijou du castrum parmi les richesses historiques de cet oppidum. René, c'est, aussi, un fervent admirateur de Georges Rebière, une vieille figure belvésoise qui nous a quittés, il y a 2 ans, et dont il faut préserver les travaux tant littéraires que de passeur de savoir-être et de savoir-faire.
Le cercle du lectorat, les maillons forts, les membres associés, les adhérents et amis.
premier trombinoscope
D'autres partenaires et amis
J-Pierre Passerieux |
Martine Sandoz |
Théophile Pardo |
Michel Mousnier |
Sabine Feyt |
Joseph Wertenberger |
Claire da Costa |
Yolande Magnanou |
Serge Baldi |
Jean-Louis Filet |
J-Marie Navarre |
J-Cl Dugros |
Sylvette Roussel |
Karine Sengenes |
Jean trapy
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Joëlle Baldi |
Suzette Merlhiot |
Martine Lalue |
Lydie Chies-Keller
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En attendant le trombinoscope de printemps.
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Joëlle Desmy | Claudine Le barbier | Daniel Conchou | Isabelle Petitfils | Françoise Corréia |
Ce trombinoscope n'est pas exhaustif. Il peut comporter des omissions involontaires. Les abonnés qui se sont inscrits avec des adresses cryptées, ne figurent pas. |
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Qui sont ces "électrons libres" de Terre de l'homme.
Ce journal informatique de Terre de l'homme vient, pour la plus grande satisfaction de Catherine, sa coordinatrice, de compter le nombre de ses membres avec 3 chiffres.
Qui sont donc ces maillons qui se rejoignent en Terre de l'homme. Cet espace est, faut-il le rappeler, totalement informel. Son embasement pourrait se situer quelque part en Périgord, là où jadis on parlait surtout occitan. Dans cette terre de l'homme, nos lointains ancêtres étaient des chasseurs-cueilleurs. Ils ont migré vers le sud, en suivant les creusets de la Vézère et du ruisseau d'Aurival, en passant la Dordogne et en s'aventurant dans le corridor de la Nauze, de la Ménaurie et de la Lémance. Cette descente s'amorça, il y a moins de 10 000 ans (entre 9 500 et 7 500), c'est-à-dire hier au regard de l'odyssée humaine*, pour créer les industries mésolithiques hypermicrolithiques du Sauveterrien**.
Aujourd'hui, les héritiers et descendants de ces chasseurs-cueilleurs se trouvent un peu partout. On en trouve sur les rives du Rhin, [coucou à la dernière arrivée, elle se reconnaîtra] sur les berges de la Moselle, de la Seine, du Rhône mais aussi bien plus loin à San Francisco, à Cayenne, en Nouvelle Calédonie… ou ailleurs.
Parmi eux, certains ont manifesté le désir d'être reliés à Terre de l'homme, ce qui, manifestement, est un symbole, tout à la fois, d'ouverture et de ressourcement.
Ces "électrons libres" sont de sensibilités bien diverses avec de fortes différences sur les thèmes sociétaux et, fort heureusement, ils offrent certainement bien des nuances.
Parmi eux, on trouve des médecins et pharmacien honoraires, des enseignants, des artistes, des romanciers, des ruraux qui ont passé leur vie à la préservation et à la mise en valeur du patrimoine agricole, des prestataires du séjour et du tourisme, ou d'humbles retraités du secteur tertiaire, des Armées, de la fonction publique ou assimilée... du chemin de fer. On trouve, aussi, divers élus de proximité dont plusieurs sont maires de petites entités rurales. Beaucoup de ces "électrons libres", pour ne pas dire tous, ont la "fibre citoyenne" et s'investissent dans la vie associative, caritative, culturelle, patrimoniale, sportive ou dans la généalogie, ou en passeurs de mémoire.
Enrichissez ce collectif par vos apports, vos connaissances ; et, grâce à vous, il ne paraît pas impensable de découvrir bien d'autres contributeurs et, aussi, beaucoup d'autres abonnés.
* Cette migration qui intéressa, au plus haut point, Laurent Coulonges, bien sûr, nous plonge assez loin en arrière. Relativisons. Nos ancêtres, depuis, ont été relayés par 3 à 400 générations... c'est bien peu par rapport à la longue histoire des humains. Depuis cette ère, les chasseurs-cueilleurs sont devenus les paysans... nos parents, nos grands-parents.
** Le terme Sauveterrien désigne des industries mésolithiques. Il a été créé en 1928 par Laurent Coulonges pour nommer les industries découvertes entre l'Azilien et le Tardenoisien dans l'abri du Martinet, à Sauveterre-la-Lémance. Il est globalement compris entre 9 500 et 7 500 ans.
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