Sortir le blog de sa quasi-léthargie
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Non, le blog "Terre de l'homme" n'est pas sur une voie de garage, celle qui s'approche de très près de la voie de l'abandon ; mais, pour l'heure, Catherine Merlhiot, sa coordinatrice, connaît un problème qui la prive de l'accès au clavier de son ordinateur.
Tout le lectorat lui souhaite de retrouver, au plus tôt, la motricité de son poignet pour reprendre ses activités. |
Catherine Merlhiot, image © Bruno Marty, ci-dessus, lors de la dictée du 28 août 2023, s'inspirant des "Lettres de mon moulin" de Daudet, mit en relief toute la finesse de l'auteur dramatique de l'avant-dernier siècle. ________
Qui est Catherine Merlhiot ? La fille du fondateur de "Terre de l'homme", manifestement, est imparfaitement connue du lectorat. Elle fut chef du département formation, écriture et développement du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC). "Militante" de l'écriture, elle travaille bénévolement en Périgord, sa terre natale, pour favoriser l'insertion de personnes de cultures diverses.
D'aucuns, un peu rapidement, ont dit qu'elle garde "Terre de l'homme" uniquement par devoir filial. Ceci, manifestement, est respectable mais ce n'est pas son unique raison. Catherine a toujours souhaité voir ce lien s'enrichir et s'ouvrir dans les domaines divers, citoyen, écologique et associatif. |
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En attendant, "Terre de l'homme", toujours en recherche de plumes actives, ne sait comment maintenir le fil rouge de ses regards sur nos vies.
Écrire sur "Terre de l'homme", ne doit ni être un vecteur d'entretien de passions controversées, ni une fontaine de polémiques, passons pour le pléonasme, stériles.
Une piste de retour sur la petite histoire. Notons que le lectorat a toute latitude d'ignorer ou de taxer la proposition de ce jour de tous les mots de dérision. Ouvrir un feuilleton, un volet par semaine, ou à peu près, sur ces 108 cités sous-préfectorales qui ont connu le "déclassement" de 1926, voilà une ambition modeste qui peut intéresser... ou enrichir l'atonie.
En septembre prochain, il y aura tout juste un siècle, la gouvernance de l'époque décida, pour des raisons d'économie, de remanier fortement à la baisse, le nombre de nos sous-préfectures.
Une réforme majeure du nombre et de la répartition des sous-préfectures intervint, donc, avec le décret-loi du 26 septembre 1926, nommé également " réforme Poincaré-Sarraut ". 108 sous-préfectures sont supprimées et 2 sont créées, il y a donc une perte globale de 106 sous-préfectures dans toute la France. Ainsi, Ribérac, comme ses voisines Saint Yrieix, en Haute-Vienne, Ruffec et Barbezieux en Charente, Marennes, en Charente Inférieure, et La Réole en Gironde, perdit son rang au "ramdam" des riverains de la plus importante cité du Périgord vert, fortement déçus de cette décision, bien entendu validée le plus tardivement possible.
Si ce feuilleton encore virtuel vous semble inadéquat, ou vous déplaît, il vous suffira de glisser un commentaire avec le simple mot "non". Bien entendu, la voix du lectorat est la seule voie à suivre.
P.F
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