Terre de l'homme

Il y a exactement 131 jours,  Pierre Merlhiot lançait "Terre de l'homme".  Les premiers billets, lancés un peu comme une bouteille à la mer, tentaient une renaissance de lien informatique pour que notre bassin de vie essaie, en pleine pandémie, de retrouver un embryon de reconquête de vie interprétée sur un champ de ruines.

Les éditoriaux de son initiateur, avec tout le côté culturel qu'ils sous-tendaient, donnaient le la. Bien vite, d'autres thèmes furent soutenus grâce à la plume scientifique et médicale de Jacques Lannaud.

Pour qu'un lien soit vivant -et bien vivant- il faut certes savoir donner place aux plumes fécondes mais il faut, aussi, privilégier l'image, témoin incontournable de notre temps. Qui mieux que le reporter photographe Bruno Marty dont les talents sont assurément reconnus par le lectorat, et bien au-delà notamment par la presse régionale, pouvait, par l'image, structurer toute sa place à ce journal informatique !  Bruno a dépassé avec son second reportage "Pluviôse le bien nommé", les 600 lectures.

Voici le lien à activer pour visionner les images de ces articles immanents aux crues de février.

https://terre-de-l-homme.blog4ever.com/article-sans-titre-24?token=89cb633f46744debbb359035f391de22

https://terre-de-l-homme.blog4ever.com/article-sans-titre-21?token=55d664fdad98006ff6b46187c7f7642f

Ce chiffre plus que satisfaisant, aujourd'hui il s'approche des 700, paraissait presque impensable, il y a un mois. Il a ainsi obtenu le meilleur pic d'attention de ce début de blog. Si les chaînes médiatiques se focalisent presque sur l'audimat, les modestes blogs, eux, pour connaître l'impact de leurs thèmes, ont, au premier chef, pour principal outil le compteur.

Bruno a donc fasciné l'équipe rédactionnelle de Sud Ouest et impressionné, par la singularité de ses travaux, Franck Delage de la rédaction du quotidien aquitain. Il a lancé la journaliste Léna Badin à la recherche de cet audacieux passeur d'images. Les rugissements de nos cours d'eau, au début février, ont été l'élément d'hypnose du reporter. Léna a su, en une page, donner toute la force de stimulation des témoignages de Bruno qui, des agitations du Pacifique aux colères de nos cours d'eau, sait immortaliser par l'image la puissance des éléments.